Li Chin est une jeune danseuse de la maison royale de Corée à la fin du XIXe siècle. En tombant amoureuse du premier diplomate français qu’elle rencontre, elle ne s’attend pas à découvrir Paris et l’amour.
La narratrice, devenue écrivaine, brosse un portrait de sa mère, Sonyô, à travers les souvenirs qu'elle évoque. Femme fruste, celle-ci disparaît dans le métro de Séoul et sa fille comprend à quel point c'était aussi une femme dévouée et aimante.